L’art délicat de l’auto-promotion

Je vais être directe : si vous n’êtes pas « friendly » avec la bureautique, les réseaux sociaux, les logiciels de retouche d’images, la recherche sur le net,… faire votre propre promotion sera compliqué.

Je réalise combien il est délicat de concevoir un support adapté à ce que vous proposez, la cible, le format et le vecteur de communication.

J’ai pour le moment abandonné l’idée de démarcher les libraires, pas assez de temps pour le faire. Du coup, je mise tout sur les réseaux sociaux et le bouche à oreille. Mon premier cercle (mes amis), partage plutôt modérément et je ne mesure pas l’impact auprès du second cercle (les amis de mes amis), du coup, je dois m’adapter.

J’utilise les outils de propagation à ma disposition sur les réseaux sociaux, c’est évidemment payant donc pour le moment, je n’ai fait qu’une campagne de publicité. J’ai aussi investi dans ce blog mais je vais devoir prendre du temps pour le faire vivre…

Je réalise aussi des flyers que je dépose chez les commerçants qui acceptent, j’en colle partout à mon taf, sur ma voiture, bref… je teste !

J’ai également commandé un dossier de presse et une liste de journalistes ciblés pour leur envoyer, je redoute un peu que ce soit un flop mais je considère aussi ça comme une expérience pour l’avenir.

Enfin, j’ai proposé mon livre à des blogueurs littéraires, même si l’accueil est parfois glacial, certains sont bienveillants et j’ai hâte d’avoir leurs retours et avis (espérons que ce sera positif tout de même !).

Voilà, c’est pas simple mais hyper enrichissant. #Positive.