Après un silence, long, trop long, quelques nouvelles.
Le tome 2 d’Hazadef se vend doucement. Je sens que mon manque de publicité ou de lobby auprès de mes anciens collègues me pénalise. Il ne fait aucun doute que la peur de ne pas savoir quoi me répondre lorsqu’en début ou en fin de réunion je posais la question « Alors, t’en as pensé quoi de mon dernier roman ? », cette peur encourageait les ventes (spontanées ?). À présent, bien à l’abri de ce risque, ces lecteurs gardent dans leur tête d’acheter la suite, mais que ça peut attendre.
Je ne peux que conclure que finalement, moi qui déteste la pub, récurrente, abrutissante, aliénante parfois, est une garantie de se rappeler aux lecteurs. Mais voilà, je n’ai pas le temps ni l’argent. Enfin, j’ai bien essayé hein ! Journaux locaux qui ne répondent pas, enseignes culturelles qui vous claquent la porte au nez parce qu’ils ont signé un partenariat avec une autre plateforme d’auto-édition ou qui considèrent encore qu’un livre auto-édité est le gage d’une non qualité « Sinon, l’aurait trouvé un éditeur hé ! ».
Loin de ce non-encouragement aux jeunes plumes, la vie, la vraie, a pris un tournant radical sur plusieurs points et force est de constater que je suis (nous sommes, l’auteure et moi ? Schizophrénie, laisse-moi tranquille !!!), débordée. Double peine car j’ai furieusement envie d’écrire mais pas le temps. Et si j’arrive à me dégager une heure ou deux, je n’ai plus l’énergie. Enfin, je sais, et même, je sens, que l’envie va reprendre le dessus… Comme à chaque fois !
Il y a quand même du bon dans ce désert de succès littéraire espéré, les chroniques réalisées jusque-là sont positives. Si vous en êtes curieuses(eux), c’est par ici.
Et n’oubliez pas, si vous l’avez acheté et lu, un avis sur le site marchand c’est une plus grande visibilité pour moi, un coup de pouce qui vous demande peu d’effort. Pensez-y !

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