</i> par Depuis quelques mois, Netflix propose une série post-apocalyptique déjantée Daybreak. J’y suis allée un peu par hasard mais surtout parce que le casting comptait l’acteur Matthew Broderick que j’aime beaucoup.
Et je n’ai pas été déçue !
Imaginez un monde post guerre nucléaire où tous les adultes sont devenus des goules affamées et seuls leurs enfants sont restés humains.
Un monde où les castes très typées des lycées américains se regroupent pour survivre et au milieu, quelques héros aux motivations diverses.
Les personnages sont volontairement poussés dans leurs clichés et ça fonctionne très bien. Le rythme est génial ainsi que les retournements de situations et ce, même si le scénario n’est pas la vraie qualité de cette série.
Il y a aussi toutes ces références à la pop culture ou aux séries et films ayant marqué des générations. C’est bien fait, toujours surprenant et souvent hilarant. Harry Potter, GOT, Indiana Jones, Excalibur, Star wars, Walking Dead, Mad Max… et évidemment les jeux-vidéos (Sombra jouée par le proviseur 🤣). Sans compter que c’est la première fois que je vois dans une série une boite du jeu Les colons de Catane… priceless !
Ce proviseur qui justement reprend un costume proche de Ferris Bueller, autre film culte pour moi, et donne une tonalité qui m’est familière.
Enfin, la variété des personnages secondaires est très travaillée et cela finit presque par évincer le personnage principal. J’ai eu un coup de cœur pour la gamine (comme beaucoup) dont le vocabulaire fleuri ainsi que les sarcasmes valent leur pesant d’or ! Et bien entendu, la prof, Mme Crumble à l’image de cette série : imprévisible.
Bref, déposez le cerveau (mais pas trop quand même) et savourez ce petit biscuit sans prétention. Vous y trouverez forcément votre compte !
Ana Kori 
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