Plantée entre mon ancienne maison et la prochaine, voici plus de quinze jours que j’ai le sentiment d’attendre. Attendre de pouvoir passer à la suite, m’installer, commencer mes travaux. Organiser mon nouvel espace.
J’en suis privée à cause de la très mauvaise volonté d’un notaire. C’est rageant mais tout dépend de lui. Rien à faire contre ça, à part attendre, encore et encore.
L’aspect positif, c’est que ma retraite forcée au fin fond de la campagne charentaise s’avère productive côté écriture. J’ai quasiment terminé la saison 2 de RUN qui s’est finalement scindée en deux saisons. Comme tu es très fort-e, tu as donc compris que RUN aura trois saisons. Pourquoi te demandes-tu ? Parce que la 2 s’est avérée trop longue…


Enfin, j’ai commencé une nouvelle histoire. Je vais m’essayer au thriller car l’idée et le premier jet du synopsis se prêtent bien à ce genre. Je ne sais pas encore dire quel sera le format final : nouvelle ou roman ? Tu verras bien, je t’en reparlerai.

J’ai aussi rédigé un mini conte d’Halloween pour un numéro spécial Rocambole. J’attends l’avis du grand Manitou pour savoir si c’est suffisamment effrayant (et qualitatif) pour être parmi les textes retenus.
Merci aux gentils lecteurs-testeurs qui ont pris 5 à 10 minutes de leur temps précieux pour tester ce format court (Lole, Angie, Raph #vousêtestropforts).
Cependant, je n’ai absolument pas commencé le T3 d’Hazadef pour la bonne et simple raison que je sais comment j’ai fonctionné sur les premiers tomes. Ecriture durant des journées voire des nuits entières. Il me faut être posée, installée, sereine pour me lancer.
Ce qui est cool, c’est que j’ai eu très récemment des retours de lecteurs-rices du tome 2 qui m’ont fait plaisir. Merci à ces personnes qui prennent le temps de me lire, déjà, mais en plus, de me dire ce qu’ils en ont pensé (le positif comme le négatif). Ma plus grande satisfaction réside dans le fait que ce que j’ai voulu insuffler dans ce livre a été perçu. Un sentiment agréable d’avoir su trouver les mots justes pour raconter (même si ce n’est pas toujours forcément plaisant pour les lecteurs-rices qui espéraient davantage de douceur ou moins d’épreuves pour les protagonistes de l’histoire).
En conclusion, même si j’ai l’impression que les choses m’échappent dans ma grande migration, le bilan s’avère réjouissant côté création. Le plus important, malgré tous mes déboires de logement, je ne perds pas le Mojo !
Il est pourtant si facile de se perdre…
Bravo tu gardes ton Mojo !!! Vive la Charente…
Je sens bien les thrillers qui vont nous empêcher de dormir
1) car on a envie de lire la suite
2) parce qu’on flippe trop
…. grrrrr.
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Tu es pleine de ressources Ana garde le Mojo j ai hâte de lire tout tes supers romans surtout celui qui fait peur 😱
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